4 novembre 2011
Quand tout s’arrête, que le bonheur disparaît
Quand tout s’arrête, que le bonheur disparaît
Quand on sait que rien n’y ferait
Pas même les mots de ceux à qui l’on tient
Le cœur petit à petit s’éteint.
Les fantômes qui me hantent jour et nuit
Mais qui se sont enfuis…
La joie qui file et qui s’envole
Abattue par toutes ces paroles
Plus l’envie d’aimer quoi que ce soit
Je ne suis plus vraiment moi…
Je suis un peu perdu, juste inconsolable
Mon cœur se referme en laissant les plaies
De la haine, de la colère, sans les soigner.